Un affrontement pour la présidence des Républicains (LR) mais pas une . Quelques jours après leur annonce de candidature, Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez ont affiché leur souhait d’éviter un , selon les mots du ministre de l’intérieur, dans , samedi 15 février. , a estimé l’élu vendéen.
Regrettant de son côté la candidature de M. Retailleau, en assurant qu’ pour la droite que de , M. Wauquiez a lui aussi affiché son souhait d’écarter toute , au cours de cette campagne, dimanche soir BFM-TV.
Pour se démarquer de son concurrent – le seul pour l’instant –, Laurent Wauquiez a affirmé qu’il ferait de la lutte contre et le ses thématiques de campagne. Et ce alors que M. Retailleau », a expliqué M. Wauquiez dimanche soir.
, a ajouté M. Wauquiez. (…) a insisté celui qui fustigeait déjà en 2011, dans une formule polémique, , véritable
a ajouté le député de la Haute-Loire, évoquant également et .
Pas de « match sanglant »
De son côté, Bruno Retailleau affirme dans l’interview au vouloir s’appuyer sur son action au ministère de l’intérieur. , défend-il.
Il affirme vouloir s’adresser aussi . Et concernant le parti lui-même, son objectif, assure-t-il, est de . , regrette-t-il.
Mais pour M. Wauquiez, le ministre de l’intérieur aura pour s’occuper du parti, contrairement à ce qu’affirme M. Retailleau, car ni . La Place Beauvau est , et représente , a attaqué M. Wauquiez.
Selon ce dernier, M. Retailleau serait aussi contraint par qui l’empêcherait d’avoir comme l’exige , selon M. Wauquiez. Or, , plaide-t-il. En réponse, M. Retailleau avait assuré samedi dans qu’il n’était [s] [s].
Le Monde avec AFP
Contribuer