Le premier ministre, François Bayrou, a demandé mercredi 26 février aux syndicats et au patronat de qu’il , dans une lettre de mission obtenue par l’Agence France-Presse (AFP).
Ce courrier est adressé aux partenaires sociaux à la veille du lancement de trois mois de négociations pour la réforme très impopulaire de 2023. A la mi-janvier, avant un rapport de la Cour des comptes sur le sujet, François Bayrou avait seulement demandé aux négociateurs de ne pas l’équilibre financier du système, dont le déficit devrait atteindre 6,6 milliards d’euros en 2025.
La recherche de l’équilibre à horizon de cinq ans devrait compliquer la tâche des négociateurs, même si dans son courrier le premier ministre et que les seuls partenaires sociaux décideront .
Mieux prendre en compte la pénibilité et les carrières hachées
Les syndicats veulent abroger la réforme de 2023 en revenant sur le recul à 64 ans de l’âge de départ en retraite, et mieux prendre en compte la pénibilité et les carrières hachées qui concernent surtout les femmes, alors que les organisations patronales défendent la nécessité de la réforme.
Le chef du gouvernement indique par ailleurs aux négociateurs que l’animateur des débats, Jean-Jacques Marette, tiendra régulièrement des travaux, au cours de . Si les partenaires sociaux parviennent à un accord, même partiel, François Bayrou s’est engagé mi-janvier à présenter leur texte au Parlement pour amender la réforme.
Le premier ministre confirme enfin dans son courrier que les [la][de négociation], conformément au des partenaires sociaux.
Le Monde avec AFP
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