La Confédération française démocratique du travail (CFDT) participera à la poursuite des négociations prévue jeudi 20 mars entre partenaires sociaux sur les retraites, mais le conclave ne peut pas continuer , a prévenu, mercredi, la secrétaire générale de la CFDT, Marylise Léon. Le premier ministre, François Bayrou, en écartant la possibilité d’un retour à 62 ans de l’âge de départ à la retraite, . , a-t-elle déclaré sur BFM-TV/RMC.
La poursuite des négociations bat de l’aile depuis les déclarations du chef du gouvernement, dimanche, qui avait répondu à une question sur un retour à la retraite à 62 ans, donnant l’impression de préempter l’issue des discussions. Le premier ministre a maintenu ses propos, mardi, à l’Assemblée nationale en déclarant qu’il ne jugeait d’abroger la mesure phare de la réforme des retraites de 2023, qui a décalé l’âge de départ à 64 ans.
A la suite de ces propos, la Confédération générale du travail (CGT) a décidé mardi de proposer à ses instances de et pourrait rejoindre Force ouvrière (FO), qui avait claqué la porte dès le 27 février, dénonçant une mascarade.
Côté organisations patronales, l’Union des entreprises de proximité (U2P, artisans, commerçants et professions libérales) a également quitté le conclave, mardi, voyant dans ces négociations un . Le président du Mouvement des entreprises de France (Medef), Patrick Martin, a, pour sa part, confirmé mercredi vouloir à la discussion sur les retraites, et continuer à participer, à condition que chacun cesse de et .
Le cœur du réacteur
La CFDT , a déclaré Marylise Léon, précisant s’. Pour la numéro un de la CFDT, premier syndicat français, .
, a-t-elle ajouté, estimant être . Elle a notamment épinglé et ., a-t-elle insisté.
L’entourage du chef du gouvernement a fait savoir, mercredi, que François Bayrou pour ce dossier .Le premier ministre [aux partenaires sociaux] , a rapporté son entourage.
Le Monde avec AFP
Contribuer