Français

Au lendemain de la condamnation de Marine Le Pen, François Bayrou invite le Parlement à revenir sur l’inéligibilité immédiate

Au lendemain de la condamnation pour détournement de fonds publics de Marine Le Pen, le premier ministre lui a apporté un soutien inattendu, mardi 1er avril, à l’Assemblée nationale. Après l’énoncé du jugement du tribunal correctionnel de Paris, lundi, le chef du gouvernement s’était déjà dit par la peine d’inéligibilité immédiate pour cinq ans reçue par l’ancienne présidente du Rassemblement national – elle est également condamnée à quatre ans de prison dont deux avec sursis et à 100 000 euros d’amende. a-t-il lancé, mardi matin, devant les parlementaires du socle commun.

Tout en considérant qu’il n’a , en tant que membre du gouvernement, de , François Bayrou a jugé, mardi, au cours d’une séance de questions au gouvernement particulièrement houleuse, que la décision rendue le 31 mars par le tribunal correctionnel de Paris soulève . et , a-t-il estimé. Or « fait que «  », s’est-il inquiété, s’exprimant, a-t-il curieusement précisé, en tant que « ».

Il vous reste 74.6% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.