L’accélération du calendrier du procès en appel de Marine Le Pen ne représente aucunement comme a pu le dire l’avocat de la cheffe de file de l’extrême droite, a déclaré, mercredi 2 avril, à l’Agence France-Presse la procureure générale de Paris, Marie-Suzanne Le Quéau. , a-t-elle dit.
Reconnue coupable de détournement de fonds publics, la cheffe de file de l’extrême droite française a été condamnée à quatre ans de prison dont deux ans ferme assortis d’une peine d’inéligibilité de cinq ans avec exécution provisoire.
Alors que Mme Le Pen et le parti d’extrême droite on fait appel, la première présidente de la cour d’appel de Paris et le parquet général ont annoncé mardi soir que la cour d’appel examinerait le dossier des assistants parlementaires du Front national, devenu Rassemblement national, , soit bien avant la présidentielle de 2027. Cette décision a été saluée par Mme Le Pen et d’autres personnalités politiques.
L’avocat de Mme Le Pen, Rodolphe Bosselut, a estimé, mercredi matin, que la décision de la cour d’appel d’accélérer son calendrier était et constituait un du jugement en première instance. , a-t-il affirmé.
Un calendrier judiciaire sous pression
, a souligné Mme Le Quéau. , quelle que soit la décision qui serait rendue en première instance, a-t-elle poursuivi. pour voir à quel moment cette affaire pourrait être fixée, a relaté la magistrate.
, a-t-elle fait valoir, disant vouloir . Et d’ajouter :
Le Monde avec AFP
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