La ministre des comptes publics, Amélie de Montchalin, a annoncé, dimanche 27 avril, que le gouvernement souhaite la suppression ou la fusion d’un tiers des agences et des opérateurs de l’Etat. Les universités ne seront pas concernées par cette proposition, selon la ministre, qui a argumenté sa déclaration sur et par la nécessité .
, a-t-elle défendu. Les fusions et suppressions déboucheront sur , selon la ministre, qui a précisé sur ce sujet : Le non-remplacement des départs à la retraite dans ces structures, qui rassemblement 180 000 personnes, toujours selon Amélie de Montchalin, est notamment envisagé.
« Il n’y a pas de l’argent de l’Etat »
, a-t-elle également avancé.
Sur la méthode, la ministre a déclaré qu’un premier était en cours . Mme de Montchalin a salué un second , celui de la commission d’enquête sur les missions des agences, opérateurs et organismes consultatifs de l’Etat au Sénat, devant laquelle elle doit être auditionnée à la mi-mai. , a prévu la ministre. , a-t-elle conclu.
En 2024, le déficit public s’est creusé à 5,8 % du produit intérieur brut (PIB). Le gouvernement espère le ramener à 5,4 % cette année, au prix d’un effort budgétaire d’une cinquantaine de milliards d’euros, renforcé récemment par 5 milliards supplémentaires. Il entend ensuite le réduire à 4,6 % en 2026 grâce à un nouvel effort chiffré à 40 milliards d’euros.
Le Monde
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