Un an après l’échec cuisant de son camp aux élections législatives anticipées de 2024, Emmanuel Macron retrouvera, le 8 juillet, le pouvoir de dissoudre l’Assemblée nationale. Une étape éminemment symbolique : à moins de deux ans de l’élection présidentielle, le chef de l’Etat peut de nouveau agiter la menace d’une dissolution (…), affirmait-il début juin.
Or la situation politique, à dix jours de la présentation des grandes orientations du budget par François Bayrou, apparaît plus chaotique que jamais. Le « socle commun » n’est plus qu’une , constate un ancien ministre, et l’Assemblée nationale un , soupire le député (Renaissance) des Français établis hors de France Vincent Caure. [proposition de loi] , très éloignées des enjeux du moment, persifle une ministre de premier plan.
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