Peut mieux faire. Entre la chaleur accablante, un public pas toujours au rendez-vous et des pelouses parfois en piteux état, le bilan de la première édition de la Coupe du monde des clubs élargie à 32 équipes est mitigé. Cette compétition, qui s’est déroulée du 14 juin au 13 juillet dans onze villes américaines, montre que la Fédération internationale de football (FIFA) a encore du travail pour améliorer les conditions de jeu et l’accueil des visiteurs, avant la tenue du Mondial des nations organisé aux Etats-Unis, au Canada et au Mexique du 11 juin au 19 juillet 2026.
Si le président de la FIFA, Gianni Infantino, a qualifié le tournoi d’ en mettant essentiellement en avant son aspect lucratif, ce rendez-vous a suscité de nouvelles critiques, après celles déjà formulées avant son lancement sur le fait qu’il a alourdi encore un peu plus un calendrier déjà surchargé pour les joueurs.
La chaleur, le problème numéro un
Le problème principal a été sans nul doute les températures caniculaires observées aux Etats-Unis durant la compétition. Plusieurs matchs se sont joués sous 40 °C à l’ombre. Le phénomène a été accentué par les horaires des rencontres, le plus souvent programmées à midi ou dans l’après-midi pour satisfaire les téléspectateurs européens, en raison des six heures minimum de décalage horaire.
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