Emmanuel Macron a déclaré, dimanche 17 novembre, à Buenos Aires que la France ne le traité de libre-échange entre l’Union européenne (UE) et le Mercosur. Affirmant vouloir , il a ajouté que .
[Javier], a assuré le président de la République, à l’issue d’une visite en Argentine au cours de laquelle il s’est entretenu à deux reprises avec le président argentin.
Dans ce cadre, M. Macron a rapporté avoir dit à son hôte que [l’accord UE-Mercosur] . , a encore expliqué M. Macron à la presse sur le tarmac de l’aéroport, avant de quitter l’Argentine pour le Brésil où il doit participer au sommet du G20.
L’UE pourrait-elle passer outre la position de Paris ? , a répondu le chef de l’Etat, disant [tre].
(…), afin d’avoir une production , et , a encore jugé M. Macron.
Mobilisation des agriculteurs à partir de lundi
La Commission européenne, soutenue par plusieurs pays comme l’Allemagne et l’Espagne, espère signer d’ici à la fin de l’année le traité de libre échange négocié depuis des décennies entre l’UE et les pays du Mercosur (Argentine, Brésil, Uruguay, Paraguay et Bolivie).
Les agriculteurs français, soutenus par une classe politique unanime, prévoient de se mobiliser à partir de lundi contre le traité.
Le président russe, Vladimir Poutine, avec Kiev et , a par ailleurs estimé le chef de l’Etat. Après cette offensive, , [les] c, a souligné M. Macron, qui n’a pas exclu de reparler à son homologue russe, mais seulement quand le s’y prêtera.
Dans ce contexte, , a poursuivi le président.
Interrogé sur l’initiative du chancelier allemand, Olaf Scholz, qui a eu vendredi un échange téléphonique avec Vladimir Poutine – provoquant la colère de Kiev –, M. Macron a répondu qu’il n’était .
Le Monde avec AFP
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