Quelque 20 000 personnes, selon les organisateurs, se sont rassemblées, dimanche 6 octobre à partir de 15 heures, dans le 7e arrondissement de Paris, au pied de l’Unesco, pour demander la libération des otages encore détenus à Gaza et affirmer leur solidarité envers l’Etat et le peuple d’Israël. Un an après l’attaque terroriste du Hamas, le 7 octobre 2023, , commente Sandra Ifrah, porte-parole de Women United for Peace, l’une des associations organisatrices, qui s’est créée quarante-huit heures après le massacre. Elle souligne une initiative .
Sous l’égide de l’antenne française du Fonds national juif, le Keren Kayemet LeIsraël (KKL, dont l’objectif est de collecter des fonds en faveur de projets liés à la terre, l’eau et la forêt en Israël), une cinquantaine d’organisations et d’institutions juives ont répondu à l’appel #jesuisdebout, , insiste Mme Ifrah. Sur son site, le KKL avait appelé à rendre hommage aux , dénoncer et affirmer
C’est pour toutes ces raisons que Luz et Stéphane (les personnes interrogées dans la foule n’ont pas souhaité communiquer leur nom de famille), 54 et 55 ans, sont venus : , et . Elle, un drapeau français noué sur les épaules avec le message suivant collé au-dessus d’une étoile de David brodée : Lui, avec un immense drapeau israélien à la main. Elle, non-juive. Lui,
comme ils disent, venus sans leurs enfants, dans leurs convictions, qui n’avaient pas hésité à participer à la marche contre l’antisémitisme en novembre 2023, mais trop par la guerre à Gaza pour répondre à #jesuisdebout et son appel à soutenir Israël. , insiste Luz. , note, fataliste, Franck, avocat parisien de 49 ans.
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