Le président du groupe des Républicains (LR) à l’Assemblée nationale, Laurent Wauquiez, annonce à son tour, jeudi 13 février, sa candidature à la présidence du parti LR. , a-t-il fait savoir dans un entretien mis en ligne sur le site du .
S’il dit souhaiter éviter à droite, il s’en prend dans cette interview à son rival Bruno Retailleau en estimant que . L’entourage de M. Wauquiez avait accusé la veille le ministre de l’intérieur d’avoir pris la d’un conflit interne en lançant sa propre candidature à la tête du mouvement et en devançant le député de Haute-Loire., écrit-il dans une lettre adressée aux militants LR.
, a ajouté le patron des députés, dans l’entretien au , pour se démarquer de son adversaire, avant une réunion publique à Valence, sur ses terres d’Auvergne-Rhône-Alpes, qui prend l’allure d’un premier meeting de campagne.
Volonté de « rassembler »
A l’issue d’un conseil stratégique de LR, qui s’est tenu au petit matin au siège du parti jeudi, Bruno Retailleau a rejeté les accusations de l’entourage du député de Haute-Loire, qui lui reproche de ne pas avoir respecté un accord sur la distribution des rôles passé entre les deux hommes, l’un prenant le parti et l’autre entrant au gouvernement. , s’est défendu Bruno Retailleau à l’issue de la réunion, rappelant que Laurent Wauquiez avait lui aussi essayé d’entrer au sein des exécutifs successifs de Michel Barnier et de François Bayrou.
Promettant de Place Beauvau s’il prend la tête des Républicains, tout en se disant convaincu que , Laurent Wauquiez assure que sa de LR . Le patron des députés entend également se rendre dans pour aller à la rencontre des adhérents, qui devront désigner au printemps le nouveau patron de la droite, la date devant être fixée lundi lors d’un bureau politique.
Il affirme croire en .
Le Monde avec AFP
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