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Défense : Emmanuel Macron annonce que l’armée française va « accroître et accélérer les commandes de Rafale »

Le chef de l’Etat français a promis, mardi 18 mars, dans les , dans le cadre de nouveaux investissements de défense décidés en raison de la géopolitique.a annoncé Emmanuel Macron, lors d’un discours prononcé à l’issue d’une visite de la base aérienne militaire 116 de Luxeuil-Saint-Sauveur (Haute-Saône).

Avec un escadron équipé de vingt-six avions de chasse Mirage 2000-5, la base de Luxeuil-Saint-Sauveur est au cœur du dispositif français de , en particulier dans le cadre des manœuvres de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), et a aussi contribué à la dissuasion nucléaire, comme l’a rappelé le chef de l’Etat lors de son discours. [va](…), , a-t-il aussi annoncé.

Par ailleurs, la base sera, , a ajouté le président, évoquant pour cela un investissement de l’Etat pour adapter le site. Il subira d’importantes modifications afin d’être modernisé, pour un investissement de près de 1,5 milliard d’euros entre 2026 et 2032. , a encore promis M. Macron.

« Se préparer » pour « éviter la guerre »

[c’est ici] », a-t-il affirmé lors de son discours, ajoutant : menée par la Russie. [l] depuis 2017, a encore fait valoir le président, soulignant que la France2022 et le déclenchement de la guerre en Ukraine pour mieux doter ses armées. L’armée française est a estimé M. Macron.

, a-t-il conclu.

Alors que l’administration Trump fait pression pour que l’Ukraine signe un cessez-le-feu avec la Russie et a drastiquement réduit son aide à Kiev, les alliés européens ont accéléré leurs discussions ces dernières semaines afin d’accroître le soutien à l’Ukraine et de renforcer la défense européenne.

M. Macron a annoncé au début de mars qu’il avait , en réponse à un en ce sens du futur chancelier allemand, Friedrich Merz. Après avoir visité la base de Luxeuil-Saint-Sauveur, le président de la République doit justement se rendre mardi après-midi à Berlin pour rencontrer le chancelier sortant, Olaf Scholz, puis dîner avec M. Merz.

Le Monde

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