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Gabriel Attal assure avoir de « profondes différences » de vision avec Bruno Retailleau, mais multiplie les propositions sur la sécurité et l’immigration

Le secrétaire général de Renaissance, Gabriel Attal, a martelé, samedi 24 mai, dans de avec Les Républicains (LR) de Bruno Retailleau, membres de la même coalition, tout en regrettant que son propre parti ne se soit de certains sujets régaliens.

Une semaine après l’arrivée de Bruno Retailleau à la tête des Républicains (LR), Gabriel Attal a réfuté toute course derrière celui qui pourrait être un rival à la prochaine présidentielle, soulignant de avec LR.

[interruption volontaire de grossesse], a-t-il égrené.

[prononcée par le ministre de l’intérieur lors d’un meeting], a-t-il ajouté.

Néanmoins, l’ancien premier ministre a également dévoilé de nouvelles propositions sur le régalien, son parti tenant une conférence de presse lundi sur le sujet. Il propose notamment de systématiser les polices municipales dans les villes de plus de 10 000 habitants et de pérenniser la vidéosurveillance associée à des algorithmes de détections.

Un débat sur la sécurité et la justice

Sur le volet judiciaire, Gabriel Attal soutient la proposition controversée du garde des sceaux, Gérald Darmanin, de créer une prison de haute sécurité en Guyane et prône la suppression du juge d’application des peines.

Une dernière mesure également envisagée par Edouard Philippe, patron d’Horizons et candidat à la présidentielle. (…), a piqué M. Attal.

Sur l’immigration, il a de nouveau proposé la mise en place de votés au Parlement et .

Le chef de Renaissance s’est aussi livré à une critique tranchante de l’approche régalienne du parti macroniste. , a-t-il déclaré.

L’ancien ministre de l’éducation a également proposé pour soutenir à l’école, et préconisé deux rendez-vous chez un professionnel de la santé mentale avant 18 ans (avant le collège et au lycée).

Interrogé sur ses relations réputées froides avec Emmanuel Macron, Gabriel Attal s’est dit par un récent message d’anniversaire, le 16 mars.

Le Monde avec AFP

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