Gil Avérous a prévenu d’emblée, il ne compte pas . Nommé ministre des sports – mais aussi de la jeunesse et de la vie associative –, le maire de Chateauroux a affirmé lors de la passation de pouvoirs avec Amélie Oudéa-Castéra, lundi 23 septembre, qu’il souhaitait s’inscrire dans les pas de sa prédécesseure. , lui a-t-il adressé.
Si le choix de Gil Avérous par le premier ministre Michel Barnier a constitué une surprise, le premier discours du Castelroussin beaucoup moins. L’élu de l’Indre, 51 ans, a décliné les axes prioritaires de son mandat. Ils reprennent pour l’essentiel la feuille de route déjà tracée par l’équipe sortante : soutenir la haute performance sportive ; combattre et toutes les formes de discriminations ; renforcer les politiques de sport santé et la lutte contre la sédentarité, notamment à l’école ; consolider l’attractivité de la France en matière d’organisation de grands événements sportifs, après les succès de la Coupe du monde de rugby et des Jeux olympiques et paralympiques…
Pour le reste, le nouveau ministre des sports veut prendre le temps d’ et ne pas . , a-t-il relevé.
La première des priorités de Gil Avérous comme ministre des sports sera, a-t-il reconnu, de après l’engouement suscité par le succès des Jeux. L’afflux de nouveaux licenciés donne lieu à des , a fait valoir l’élu, qui n’a pas manqué de rendre hommage aux bénévoles, .
« Une maquette » du projet de loi héritage des Jeux sur le bureau
L’héritage des Jeux de Paris 2024 figure également en bonne place sur la feuille de route du nouveau ministre. , a-t-il rappelé.
Gil Avérous pourra à ce titre défendre devant les parlementaires le projet de loi héritage que la ministre sortante n’a pas eu le temps de mener à son terme. , a précisé Amélie Oudéa-Castéra lors de son discours liminaire.
Il vous reste 49.43% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.