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Les propos de François Bayrou sur le « sentiment de submersion » migratoire en France « gênent » Yaël Braun-Pivet

La présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, n’aurait du premier ministre, François Bayrou, qui a évoqué lundi 27 janvier au soir que la France [ait] d’ migratoire en France, a-t-elle assuré mardi 28 janvier sur BFM-TV et RMC.

, a-t-elle poursuivi.

Au cours de son entretien lundi soir sur LCI, le premier ministre avait estimé , a-t-il ajouté, en estimant que la France se [ait] de ce seuil.

Si elle appelle aussi à et à être[les] [françaises][les], Mme Braun-Pivet se refuse d’utiliser les mots prononcés par M. Bayrou. , a ajouté Mme Braun-Pivet, qui se veut garante des promesses originelles d’Emmanuel Macron. (…), a-t-elle dit.

Pour Yaël Braun-Pivet, scinder en deux le texte sur la fin de vie est une « erreur »

Autre opposition entre la tenante du perchoir de l’Assemblée nationale et le locataire de Matignon : le projet de loi sur la fin de vie. M. Bayrou souhaite deux textes distincts − l’un sur les soins palliatifs, l’autre sur l’aide active à mourir −, ce que Mme Braun-Pivet qualifie d’,appelant à ne pas sur cette question.

deux textes , a-t-elle expliqué, . , a-t-elle insisté.

Signataire lundi d’une tribune de plus de 200 socialistes et macronistes, publiée dans , exhortant le premier ministre à ne pas scinder le texte, Mme Braun-Pivet a rappelé que .

Mais, lundi soir, M. Bayrou, qui est réticent à l’aide active à mourir, a répété qu’il souhaitait distincts. , a déclaré sur LCI le premier ministre, qualifiant l’aide à mourir de .

[qui] , lui a répondu Mme Braun-Pivet. Scinder ce cadre revient à , a-t-elle estimé, prônant .

Le projet de loi fin de vie était en cours d’examen à l’Assemblée nationale en juin 2024 et a été interrompu net par la dissolution. Le gouvernement n’entend pas le réinscrire au calendrier parlementaire avant l’adoption des budgets de l’Etat et de la Sécurité sociale.

Le Monde avec AFP

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