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Mort de Claude Allègre : hommages à un « homme paradoxal », « grand scientifique » au « caractère tempétueux »

Après l’annonce de la mort de Claude Allègre samedi 4 janvier, les réactions politiques et scientifiques ont afflué. Alors qu’il a été ministre de l’éducation sous Lionel Jospin, ce dernier a salué la mémoire d’un , ce . , dans les années 1980, et , a-t-il ajouté auprès de l’Agence France-Presse.

Ce géochimiste de formation, récompensé de plusieurs prix prestigieux pour ses travaux dont une médaille d’or du CNRS, a occupé la rue de Grenelle de 1997 à 2000, où il a connu un bail tumultueux, notamment en raison d’une saillie dans laquelle il promettait de de l’éducation nationale. Une phrase , issue d’un , , regrette son fils Laurent. M. Allègre avait ensuite été remplacé au ministère par Jack Lang. , a commenté M. Lang, évoquant , .

, a de son côté réagi sur X l’ancien président Nicolas Sarkozy, saluant un qui .

Un « esprit original », estime François Bayrou

Le premier ministre, François Bayrou, qui a précédé M. Allègre à l’éducation nationale (1993-1997) a pour sa part rendu à cet . , a-t-il déclaré sur X. , a pour sa part témoigné Jean-Michel Blanquer, un autre successeur rue de Grenelle de M. Allègre, .

Elisabeth Borne, actuelle ministre de l’éducation, a elle écrit sur X qu’ [elle] . La ministre se dit ainsi d’avoir participé à ses côtés au Plan Université 2000.

, a réagi le ministre chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche, Philippe Baptiste. Concernant ses prises de position sur le climat , elles invitent , a-t-il ajouté dans un communiqué.

Le Monde avec AFP

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