Le ministre des outre-mer, Manuel Valls, a quitté la Nouvelle-Calédonie mardi 1er avril au soir sur une note positive, en programmant déjà son retour fin avril pour ce qu’il espère être l’ultime round de négociations sur un nouveau statut de l’archipel, l’accord de Nouméa, signé en 1998, arrivant à son terme. Le ministre a transmis un projet d’accord, secret pour l’heure, à tous les partis calédoniens.
A Nouméa, la méthode Valls – alternance de réunions plénières cadrées et d’entretiens bilatéraux – plaît et fait l’unanimité. , se satisfait ainsi Virginie Ruffenach du Rassemblement-Les Républicains (non-indépendantistes).
Mais cette nouvelle séquence de discussions, la deuxième en un mois, n’a peut-être pas été aussi fructueuse que l’espérait le ministre. M. Valls, qui avait, au premier jour de sa visite, samedi, souhaité qu’un soit adopté par les délégations, n’a finalement obtenu qu’une de l’ensemble des participants. Le texte se borne à rappeler la méthode choisie, le calendrier des réunions déjà tenues et souligne , qui ont réussi à Rien sur le fond, tout juste les délégations reconnaissent-elles , avec l’objectif de .
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