D’abord, joindre les proches. Puis tenter de trouver des solutions pour faire parvenir de l’aide. A Marseille, le passage du cyclone Chido sur l’île de Mayotte, samedi 14 décembre, laisse plusieurs dizaines de milliers d’habitants entre angoisse et volonté d’agir vite. Mais sans trop savoir comment. , explique Ben Amir Saadi, figure associative marseillaise et ancien manageur de l’équipe nationale de football des Comores.
A Kalliste, aux Rosiers, à Maison Blanche ou le long du boulevard National, des quartiers où les Marseillais originaires de l’océan Indien sont très présents, chacun s’active pour renouer le lien avec Mayotte. Et partage autour de lui les bribes d’informations glanées dans des communications fugitives., lâche, sonné, Naïr Abdallah, qui pilote une association caritative dans le quartier de Maison Blanche.
Il vous reste 77.64% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.