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Quand les golfeurs connaissent un trou d’air dans leur carrière

En 2024, tout semblait sourire à Matthieu Pavon. A la fin de janvier, en s’imposant à Torrey Pines (Californie), il était devenu le premier golfeur français depuis cent dix-sept ans à remporter un tournoi sur le PGA Tour, le circuit professionnel nord-américain. Puis il avait enchaîné, en avril, avec une 12e place, inédite pour un Tricolore, au Masters d’Augusta (Géorgie), le premier Majeur de la saison – l’équivalent des tournois du Grand Chelem en tennis –, avant de faire encore mieux, en juin, en finissant 5e de l’US Open. Cette série de bons résultats avait permis au natif de Toulouse de se hisser au 20e rang mondial.

Cependant, en 2025, [l], écrivait-il sur le réseau social X, au mois de mars : pas une compétition bouclée dans le top 40. Face aux [s], le joueur de 32 ans n’a pas encore trouvé la solution. Il a l’occasion d’y remédier, à partir de jeudi 15 mai, lors du PGA Championship, le deuxième Majeur de l’année, organisé à Charlotte (Caroline du Nord).

Bien sûr, Matthieu Pavon n’est pas le premier golfeur professionnel à connaître un tel trou d’air.  ,observe Ugo Coussaud, 220e mondial. La motivation aussi peut varier d’une semaine à l’autre. , ajoute le joueur.

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