Alors que le premier ministre, François Bayrou, prononcera mardi sa déclaration de politique générale et pourrait faire un geste en direction de la gauche sur la réforme des retraites, la droite augmente la pression sur le centriste. Le président du Sénat, Gérard Larcher, a déclaré ne vouloir de la réforme des retraites, dans une interview au , paruesamedi 11 janvier au soir.
, a déclaré le responsable des Républicains (LR), qui prévient : [au gouvernement]
, fait valoir M. Larcher, se fondant sur les estimations de l’Assurance-retraite. Le président du groupe socialiste au Sénat, Patrick Kanner, a lui estimé que le gel de la réforme pendant six mois coûterait , qui pourraient être puisés dans le Fonds de réserve pour les retraites.
« Des choses auxquelles la droite ne renoncera pas »
, prévient le sénateur des Yvelines.
Gérard Larcher dit attendre de la déclaration de politique générale de M. Bayrou , et, s’agissant du budget, – il cite notamment l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) et ses . , ajoute-t-il au nom du parti de droite.
Interviewée sur France 2 samedi matin sur une éventuelle suspension de la réforme des retraites, la porte-parole du gouvernement, Sophie Primas, elle aussi issue des rangs de LR, a affirmé [était] . , mais , a-t-elle déclaré.
, a-t-elle précisé à propos d’un éventuel aménagement du report de l’âge légal de départ à 64 ans. Mais, s’exprimant , Mme Primas a affirmé qu’une pause lui paraissait . , a-t-elle observé.
Par ailleurs interrogé sur l’instauration du scrutin proportionnel, M. Larcher ne s’y dit , mais propose d’ouvrir le débat , en permettant de nouveau aux parlementaires d’avoir en sus un mandat exécutif local, .
Le Monde avec AFP
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