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Retraites : François Bayrou ne se satisfait pas de l’échec « si près du but » et va recevoir les partenaires sociaux pour tenter de sauver le « conclave »

N’étant pas parvenu à un accord lundi soir après quatre mois de concertations, François Bayrou a déclaré, mardi 24 juin, ne pas se satisfaire de l’échec du « conclave » sur les retraites Le premier ministre a annoncé qu’il allait recevoir les partenaires sociaux mardi matin pour tenter de trouver.

, a affirmé le premier ministre depuis l’hôtel Matignon.

[syndicales et patronales] , a-t-il expliqué. Il a dit s’être entretenu [lundi] et ajouté qu’il pensait .

Matignon n’était pas en mesure de préciser à quelle heure les partenaires sociaux seraient reçus. Mais les trois syndicats, CFDT, CFTC et CFE-CGC seront reçus ensemble, et les représentants du patronat, Medef et CPME, seront également reçus conjointement, selon les services du premier ministre.

CFDT et CPME seront présente

La numéro 1 de la CFDT Marylise Léon a annoncé qu’elle se rendra à Matignon mardi. , a précisé la syndicaliste qui a pointé les du patronat dans l’échec des négociations sur les retraites.

La CPME, deuxième organisation patronale, ira à la réunion convoquée par François Bayrou sur les retraites,, selon son président Amir Reza-Tofighi. , a précisé M. Reza-Tofighi sur BFM Business.

à Matignon, a jugé mardi la leader de la CGT, Sophie Binet, interrogée sur RMC, y compris la CGT et FO qui avaient pourtant quitté le « conclave » rapidement.

François Bayrou a salué le que syndicats et patronat ont mené sur la réforme de 2023, , même si le premier ministre avait mis comme condition un retour du régime des retraites à l’équilibre d’ici à 2030, et suggéré de ne pas revenir sur l’âge de départ fixé à 64 ans., a-t-il souligné.

Il a, à cet égard, qualifié de le fait que ait été .

François Bayrou a souligné que en ce qui concerne la retraite des, ajoutant qu’un

Après quatre mois de concertations, l’échec du conclave fragilise à son poste François Bayrou, chantre de la qui avait lancé ces négociations pour justement éviter la censure en s’assurant de la neutralité du Parti socialiste.

Le Monde avec AFP

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