Le Medef, principal représentant du patronat, n’entend pas toucher à l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans, alors que le sur ce dossier entre dans sa phase finale, affirme-t-il dans un document recensant ses propositions communiquées mardi 10 juin à l’Agence France-Presse (AFP). Le Medef se dit en revanche prêt à avancer et .
Il ne reste plus que trois sessions du entre patronat et syndicats, mercredi et jeudi cette semaine, puis le 17 juin, pour rediscuter de la réforme contestée de 2023 qui avait repoussé de 62 à 64 ans l’âge légal du départ en retraite. , le Medef préconise .
Pour l’avenir, , le Medef propose par ailleurs , sans donner d’illustration chiffrée.
Concernant l’usure professionnelle, le Medef mesure . Le représentant du patronat se dit prêt , conscient .
« Faire en sorte que la maternité n’impacte pas » les carrières
Le Medef propose notamment de revoir le compte professionnel de prévention pour que celui-ci prenne en compte la manipulation de charges lourdes, les postures pénibles ou les vibrations mécaniques. Il propose ainsi de modifier le dispositif de l’inaptitude/invalidité pour que l’âge de départ passe à 61 ans, et non 62 comme aujourd’hui.
Au , le Medef dit avoir pour de . Le Medef suggère de .
Ce dernier serait . Pour financer le surcoût, , propose le Medef.
Le sur les retraites, qui a commencé le 27 février et devait à l’origine s’achever le 28 mai, a connu son lot de portes qui claquent, avec les départs précoces de FO et la CGT, côté syndicats, et de l’U2P, côté patronat pour les artisans. Il ne reste plus que cinq participants : Medef et CPME (petites et moyennes entreprises) pour le patronat, CFDT, CFTC et CFE-CGC côté salariés.
Le Monde avec AFP
Contribuer