Interrogé sur le contexte d’aggravation des tensions diplomatique entre Paris et Alger, le ministre de la justice français Gérald Darmanin a annoncé vouloir l’accord intergouvernemental franco-algérien de 2013, qui permet à la nomenklatura algérienne de se rendre en France sans visa, dimanche 12 janvier.
, de , a-t-il dit sur LCI.
, a ensuite développé le garde des sceaux, estimant qu’. Cette ne toucherait pas , a ajouté l’ancien ministre de l’intérieur.
Tensions croissantes
Les relations entre l’Algérie et la France, déjà tumultueuses, se sont envenimées ces derniers jours avec l’arrestation à Montpellier d’un influenceur algérien de 59 ans, de l’influenceur algérien Boualem Naman, dit « Doualemn », après une vidéo incitant à la violence diffusée sur TikTok. Mis dans un avion jeudi pour l’Algérie, il a été renvoyé en France le soir même. En conséquence de son retour sur le territoire français, sa rétention a été prolongée dimanche soir de vingt-six jours.
Cette expulsion était , a estimé samedi le ministère des affaires étrangères algérien, rejetant les accusations françaises et . , a réagi M. Darmanin, dimanche, estimant, en reprenant les mots de son successeur place Beauvau que
L’ex-premier ministre, Gabriel Attal, avait, lui, appelé à l’accord de 1968, qui confère un statut particulier aux Algériens en matière de circulation, de séjour et d’emploi en France. Cet accord, , a abondé M. Darmanin.
Un autre point de discorde entre la France et l’Algérie concerne l’arrestation à Alger de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, 75 ans, malade. , a déclaré dimanche le garde des sceaux.
Le Monde avec AFP
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