En cette fin d’année 2024, Violette Dorange n’a rien à envier aux privilégiés qui dévalent les pistes de ski. L’été a beau régner dans l’hémisphère Sud, on n’est pas loin de claquer des dents aux abords de la zone d’exclusion antarctique, dans laquelle elle glisse ces jours-ci – ce périmètre variable défini par l’organisation de la dixième édition du Vendée Globe pour éviter les collisions avec les icebergs et autres glaçons flottants.
, raconte la skippeuse de , toujours 25e sur les 36 concurrents encore en course, après un réveillon de Noël paisible, agrémenté de repas améliorés et d’un sac de cadeaux contenant, entre autres, [ses]s ».
En prévision de l’ambiance polaire, qui s’est invitée à bord de son très spartiate monocoque de 18 mètres – , dit-elle –, la benjamine de l’épreuve, âgée de 23 ans, a récemment renoué avec une activité domestique aussi insolite qu’acrobatique lorsqu’on la pratique dans l’océan Austral, entre le sud de la Tasmanie et celui de la Nouvelle-Zélande.
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